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SIDA

Oui mais...

Inspiré du livre "Le cancer apprivoisé", le premier livre paru en librairie en 1990 à oser mentionner les révélations qui suivent.

Depuis un groupe croissant de scientifiques affirme que le virus du SIDA est inoffensif et que le SIDA n'est pas contagieux. Découvrez ce que l'établissement du SIDA et les médias veulent vous cacher...

Le site en anglais http://www.virusmyth.com/aids/index.htm
Quelques pages en français http://www.sidasante.com/contacts/indexraf.htm

Le Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse VIH-SIDA a vu le jour grâce à un groupe de signataires pour une lettre ouverte à la communauté scientifique.
Pour voir le nom des scientifiques signataires http://www.sidasante.com/contacts/group.htm

Voici l’interview vidéo du Dr Etienne De Harven portant sur son ouvrage « Les 10 plus gros mensonges sur le sida ».

Dr Etienne De Harven - Voir le SIDA autrement

 

 

Une métaphore

Un habitant de la ville de Seattle (USA) découvre que son pare brise est griffé. Il fait sa déposition au commissariat du quartier. Le lendemain, un voisin, apprenant les faits, découvre lui aussi qu'il a été la cible du même vandale. Un autre voisin examine sa voiture et c'est ainsi que de voisin en voisin, le commissariat se retrouve rapidement envahi par des plaintes similaires.

D'abord les journaux, puis les radios, les chaînes de télévision répercutent la nouvelle. Les autres régions sont progressivement touchées par le même phénomène. On ne pense plus que le coupable est un individu, mais qu'il s'agit plutôt d'un phénomène collectif inquiétant.
Jusqu'au Président Eisenhower qui charge une équipe d'élucider ce mystère.

Deux causes furent envisagées :

   1) Des retombées dues aux récents essais nucléaires effectués par les Russes.
   2) Des gouttes d'acides provenant du revêtement des autoroutes avec un produit nouveau.
  Ni l'une ni l'autre n'était réelle.

Cette épidémie prit fin lorsqu'on apprit qu'il n'y avait pas plus de pare-brise griffés qu'auparavant. En fait, il s'agissait d'un cas isolé : quelqu'un avait observé son pare-brise sous un éclairage particulier et avait constaté qu'il était griffé.

La presse ayant grossi l'information, chaque automobiliste s'était mis à examiner consciencieusement le pare-brise de sa voiture et avait également constaté sa détérioration.

L'idée n'était venue à personne que le pare-brise d'une voiture utilisée depuis un certain temps était normalement griffé. En observant minutieusement son pare-brise, cet homme avait mis en évidence un fait qui n'avait jamais été relevé auparavant.

Cette histoire vraie, fruit d'une focalisation générale, pourrait bien être en train de se reproduire aujourd'hui, dans un autre domaine, avec des conséquences beaucoup pus dramatiques…

 

 

LE SIDA

Son origine

Le sida, abréviation de "syndrome (ensemble de symptômes qui caractérisent une maladie) d'immunodéficience acquise", est un phénomène apparu au début des années quatre-vingts. Les Etats-Unis venaient d'avouer qu'ils avaient perdu la guerre contre le cancer.

Cela commence par l'hospitalisation à Los Angeles d'un jeune homme homosexuel. Il est fatigué, il dort mal. Il a des poussées de fièvre inexpliquées. Il maigrit.

A l'hôpital, on ne trouve rien. On le dirige vers un hôpital universitaire pour des examens plus poussés. Là, on annonce au malade complètement paniqué qu'il lui manque la quasi-totalité des lymphocytes T4, dont le rôle est de coordonner les combats contre les microbes.

Quelques semaines plus tard, il développe des difficultés respiratoires. On identifie une pneumonie grave.

Le médecin de l'hôpital universitaire, le docteur Michael GOTTLIEB, intrigué par ce cas compliqué et obnubilé par ces symptômes, se met en chasse et découvre deux autres cas similaires. Deux autres homosexuels atteints au départ des mêmes symptômes.

Son esprit logique l'amène à penser qu'il doit s'agir d'une maladie sexuellement transmissible non encore répertoriée. Si elle n'est pas répertoriée, il faut donc la découvrir.

En 1981, le premier patient meurt des suites de sa pneumonie. Les autres ne tarderont pas à suivre.

Le docteur GOTTLIEB prend alors la décision d'appeler le Centre Mondial de Surveillance Épidémiologique. Le docteur James W.CURRAN, directeur du programme, délègue le docteur SHANDERA afin qu'il vérifie les dires de GOTTLIEB. Les deux hommes se connaissent, ils ont fait leurs études ensemble. SHANDERA confirmera que l'affaire est grave.

Rapidement, telle une traînée de poudre, la mobilisation se généralise. Partout, les médecins du monde entier reçoivent l'ordre de chercher des patients dont les symptômes correspondent à ce qui a été découvert, c'est à dire pneumocystis carinii, sarcome de Kaposi et lymphadénopathie (affection ganglionnaire) : des affections rares qui n'avaient jusqu'ici jamais attiré l'attention des chercheurs car elles touchaient les milieux minoritaires.

L'Epidemic Intelligence Service lâche ses médecins détectives. Ils ne trouvent malheureusement pas grand chose. Les malades qu'ils découvrent n'ont qu'un seul point commun : ils sont homosexuels.

Mais cette seule découverte va déjà bouleverser le monde entier. Partout on parle d'un milieu qui jusqu'ici était tabou, où les pratiques sexuelles étaient généralement cachées. Le monde veut en savoir plus. Le public commence à parler du cancer "gay" (terme anglais signifiant homosexuel).

En cherchant mieux, les détectives de la santé trouvent un cas qui n'est pas homosexuel, mais toxicomane. Les nouvelles circulent vite, les médias en profitent pour grossir l'information.
Les chercheurs sont maintenant de plus en plus convaincus qu'il s'agit d'une nouvelle maladie transmissible par les rapports sexuels et le sang. Sans doute un virus qui inhibe le système immunitaire.

En 1983, à Paris, l'Institut Pasteur va, le premier, identifier un virus. Il sera suivi en 1984 par les Américains.

Des anticorps sont ensuite découverts dans le sang d'un Zaïrois, échantillon qui remonte à 1959. Puis on découvre le "virus" lui-même dans le sang d'une Africaine prélevé en 1976.

A partir de là, l'actualité n'est plus seulement orientée vers les milieux minoritaires, mais vers le continent africain. La plupart des pays africains sont passés au crible. Très vite, il apparaît que le nombre de cas est affolant. Le sida est déjà répandu dans toute l'Afrique. Puisque l'on a trouvé les anticorps de virus dans le sang d'un Africain prélevé en 1959, on en déduit que la propagation du virus aux autres continents est donc venue d'Afrique. Le voyage d'un virus est cohérent.

Ce que l'on oublie de dire, c'est que ces africains, porteurs de se soi-disant virus, se portaient jusque-là très bien !

 

 

Sa propagation

Le virus du sida qui, au dire des chercheurs, risque de contaminer toute la planète provient:

       1) d'individus dont les pratiques sexuelles sont déviées;
       2) des prostituées;
       3) des drogués;
       4) des Noirs.

Or, dans les groupes à risques, c'est-à-dire les mères prostituées, droguées, les homosexuels, etc., on trouvait déjà depuis des années des décès causés par une déficience immunitaire (avec les mêmes symptômes aujourd'hui reconnus comme ceux du sida). Comme il s'agissait d'individus "marginaux", on préférait les ignorer.

Pourquoi s'étonner si, aujourd'hui, on affirme que 95% des enfants sidaïques appartiennent à ces groupes minoritaires à risques, que les hémophiles, par exemple, succombaient à des pneumonies, des cachexies (état d'affaiblissement extrême du corps) ou à une forme de leucémie, avant la découverte du sida ?

Les virus ont toujours existé, certains ont été répertoriés, d'autres non.
Certains de ces virus ont des organes de prédilection pour se perpétuer.
Certains virus se trouvent plus présents dans certaines régions du monde. C'est le cas pour l'Afrique où l'on a découvert un taux très important de "séropositifs" (porteurs d'anticorps spécifiques aux virus communément englobés sous le terme de sida).

Il en est de même pour les animaux. Par exemple, le singe vert d'Afrique possède un virus similaire à celui identifié comme étant responsable du sida. Cet animal n'en souffre pas. Le virus vit bien avec son hôte. Il suffit que l'animal soit prisonnier pour qu'alors le virus devienne dangereux.

 

 

Séropositivité et sida

Pourquoi, dans la plupart des cas, les séropositifs ne présentent-ils aucun symptôme ?

Rappelons-nous la phrase de Claude Bernard qui a été reprise par Pasteur sur son lit de mort : "Le microbe n'est rien, c'est le terrain qui est tout."

Pourquoi, contrairement aux autres virus, l'infection virale sidaïque n'a-t-elle pas de symptômes obligatoires ?

Pourquoi y a-t-il plus de 25 symptômes différents utilisés pour convaincre que si vous êtes séropositif, la maladie dont vous êtes atteint provient du virus ?

Pourquoi toutes les autres maladies virales sont dites surmontées si le test des anticorps est positif, alors que l'hypothèse de la théorie sidaïque postule qu'à partir du moment où l'on est reconnu séropositif, il y a entre 50 et 100% de chances, ou plutôt de malchances d'attraper le sida dans les deux à dix ans (en 1990 on disait de deux à cinq ans) qui suivent ? Imaginez ce que cela entraîne comme conséquences psychologiques.

Tous les séropositifs ont des anticorps, ce qui veut dire que normalement ils ont été en contact avec le virus.

Ce sont les virologues français qui, les premiers, ont découvert le virus du sida. Les Américains les ont suivis de près, tout en laissant entendre que le virus découvert par les Français n'était pas le virus du sida, puisqu'il ne correspondait pas à celui qu'ils avaient mis en évidence. L'Institut Pasteur a engagé un procès contre les Américains. Quoi qu'il en soit, ils découvriront vite tous les deux que le virus peut prendre plusieurs formes : il n'est pas stable, et chaque forme sera rebaptisée comme s'il s'agissait d'un virus du sida.

Il y aura respectivement le virus HTLV, HTLV3, HIV, SIV, LAV2, et HTLV4.

La guerre des laboratoires est sévère, certains refusent de communiquer à d'autres leurs découvertes pour les comparaisons.

Aujourd'hui, comme il n'existe aucune preuve causale étiologique entre le virus et le sida, les virologues en sont venus à dire qu'un seul virus ne suffit plus à engendrer le sida, mais qu'il faut envisager un cofacteur. Encore faut-il le découvrir. Cela permet de gagner du temps et d'ouvrir des subsides et une compétition entre pays et laboratoires d'un même pays.

Du fait qu'il n'existe pas de symptôme spécifique du sida, toutes les portes sont ouvertes pour vous conduire vers un échafaud dont le bourreau a pour nom "sida".

Si vous avez le malheur d'avoir de la fièvre, de la diarrhée, de l'herpès, un rhumatisme articulaire, etc., et que le test du sida soit positif, tous vos symptômes deviennent soudain "sidaïques".

Personne n'a, à ce jour, décrit un virus qui soit la cause du sida. Les chercheurs américains et français n'ont fait que mettre en évidence certains virus que l'on trouve plus couramment chez les malades souffrant de déficiences immunitaires et ont décidé qu'ils pourraient bien être la cause du sida.

Pourtant, aujourd'hui, le terme virus a perdu son sens restreint. Il ne s'agit plus d'un germe de maladies contagieuses telles que la grippe ou la polio. Les virologues l'ont élargi jusqu'à décrire n'importe quelle particule naturelle ou artificielle, qui peut pénétrer dans une cellule et la faire se copier elle-même en devenant une sorte de moule. La capacité à se reproduire n'existe que dans la cellule vivante; le virus n'en est pas doté.

Et les enfants dans tout cela ? 80% des enfants infectés sont nés de mères séropositives ou ont été contaminés lors de certaines injections. Tous les enfants séropositifs ne sont pas des enfants malades.

Aujourd'hui, la plupart des enfants séropositifs, bébés y compris, même s'ils sont bien portants, sont traités à l'AZT (Azydothymidine : traitement mis au point pour freiner la reproduction du virus). Mais l'AZT détruit les cellules sanguines, les cellules T et les lymphocytes.

Les séropositifs traités vont donc mourir d'une immunodéficience due à la destruction de leurs lymphocytes. Cela prouvera encore que le sida est très dangereux et que les séropositifs meurent bien du sida.

Certains milieux scientifiques peuvent, pour atteindre leur objectif, s'assurer l'aide de la presse. C'est ce qui se fait depuis des années pour le cancer.
A partir d'un fait divers isolé concernant un jeune homosexuel haïtien, une médiatisation à l'échelon mondial va porter les faits à une telle hauteur qu'on lira dans la presse : "Dans les prochaines années, 30 à 50% de la population mondiale sera touchée par le sida." Entendez uniquement "sera séropositive".

 

 

De quoi meurent les séropositifs ?

Imaginez que vous ayez une forte bronchite et que tout en vous soignant à l'hôpital on vous fasse le test du sida et que celui-ci s'avère positif.

Comment allez-vous réagir ?

Tout d'abord le choc. Puis l'horreur, la honte : "J'ai été contaminé, que va t'on penser de moi ?", la terreur, ensuite la dévalorisation.

La panique et le conflit de souillure vont déclencher un bouleversement, un déséquilibre tel que le système immunitaire va vaciller. Le conflit de souillure va, conformément aux découvertes du docteur HAMER permettre l'apparition d'un cancer de la peau (conflit de souillure). S'il y a dévalorisation importante, cela pourra entraîner un cancer des os accompagné d'anémie. La résolution ou distanciation du conflit provoque, dans certains cas, des sarcomes et, dans d'autres, des symptômes de leucémie.

Des milliers d'individus sont séropositifs et ne le savent pas. Ceux qui ont reçu le diagnostique positif sont susceptibles de mourir du sida par suite des conséquences de la panique, du conflit de souillure ou de dévalorisation de soi engendrées par ce diagnostic.

Rappelons-nous sans cesse que l'être humain n'est pas le jouet des caprices d'une nature aveugle qui s'amuserait à créer de nouveaux virus, plus terribles les uns que les autres.

La maladie n'est rien de plus qu'une messagère et c'est à nous qu'il appartient de ne pas déformer son message.

Les séropositifs ne deviennent des victimes du sida que s'ils se laissent envahir par la panique, la honte et la dévalorisation mortelle.

Extrait de "Le Cancer Apprivoisé" de Léon Renard, 1990 éditions Vivez Soleil.

A propos de l'AZT

L'AZT (Azydothymidine) fabriquée pour lutter contre certaines leucémies (ne fut pas mise sur le marché à cause de ses inconvénients), fut l'objet en décembre 1988 d'une première étude clinique pour combattre le Sida.

L'étude fut tellement encourageante que, vu l'urgence de la gravité de l'épidémie en cours, elle fut interrompue prématurément au deux tiers du parcours. Contrairement à tous les usages habituels avant la mise sur le marché d'un nouveau médicament, l'AZT fut commercialisée sans attendre.

Lors de cette étude, près de mille personnes, toutes séropositives, mais restées en bonne santé (?), c'est-à-dire qu'elles avaient un taux de lymphocytes T4 supérieurs à 400 par mm3 de sang (une personne en bonne santé en a de 500 à 1000) fut démontré que l'état des patients s'aggravait deux fois moins vite s'ils utilisaient l'AZT.

Le risque de progression de la maladie après deux ans était de 28% pour le groupe placebo par rapport à 14% pour le groupe traité à l'AZT.

Pour le groupe traité à l'AZT, il y eut au tout début de l'étude une augmentation plus importante du nombre des lymphocytes T4.

Ce que les scientifiques de l'étude cachent, c'est que s'ils avaient continué l'étude jusqu'au bout, ils auraient découvert une chute très importante des T4.

En effet, l'administration de l'AZT est considérée par l'organisme comme un élément étranger à combattre et il y donc eu une stimulation du système immunitaire.

L'AZT est un agent de destruction des lymphocytes T4 et la phase de réaction stimulante est suivie d'une phase de dépression du système immunitaire.

L'AZT est un cytostatique mis au point pour détruire les cellules sanguines, les cellules T et les lymphocytes dans la lutte contre certains cancers du sang. Il empêche le processus de copie de l'ADN bloquant ainsi, non seulement la multiplication du virus HIV, mais détruisant par la même occasion toutes les cellules en cours de reproduction, et principalement les cellules du système immunitaire.

 

 

Virologues dissidents

Le docteur Luc MONTAGNIER

Le découvreur Français (devrait-on dire maintenant Européen) du virus, lors d'un symposium à Amsterdam en 1996, présentait un point de vue nouveau:

"Nous pensions que ce seul virus était responsable de toute cette destruction. Maintenant nous pensons qu'il est bénin et pacifique et qu'il ne devient dangereux qu'en présence d'autres organismes ( ? ), ce que j'appelle des "cofacteurs."

On pourrait se demander si ces cofacteurs ne seraient pas simplement le terrain dont parlait Claude Pasteur et ce que nous appelons sur ce site la marge de tolérance (voir chapitre UN MODELE DYNAMIQUE).

Le docteur Peter DUESBERG

Le chef de file des dissidents, professeur de biologie moléculaire à l'Université de Californie de Berkeley, a crée avec 50 autres scientifiques, une entité internationale appelée "Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse HIV/SIDA".

Le docteur Harvey BIALY, éditeur scientifique du journal Biotechnology (une revue très proche du célèbre magasine scientifique Nature) est chargé de publier un bulletin "Rethinking AIDS" (Repenser le SIDA).

Il écrit notamment dans ce bulletin : "La plupart des médias ainsi que la majorité des scientifiques impliqués dans la recherche biomédicale ont souvent souscrit sans discrimination à l'hypothèse selon laquelle un virus appelé HIV est la cause du syndrome appelé SIDA. Cette hypothèse sert de tout à tout le monde. Elle viole tout ce que nous savions jusqu'ici concernant les maladies infectieuses, autorisant de la sorte n'importe quelle thérapie, n'importe quelle recherche, de manière à produire du fric pour la recherche.
Tout cela n'a rien à voir avec la science; toutes les raisons sont non-scientifiques.

Le docteur Peter DUESBERG a reçu une lettre expliquant les raisons pour laquelle on lui avait retiré sa bourse de 350.000 $ en tant que "chercheur exceptionnel":

"Vos recherches récentes sont moins productives, reflétant sans doute une dispersion de vos efforts dans des affaires non scientifiques".

La vérité se trouve-t-elle du côté des chercheurs sincères indépendants (ou devenus indépendants par une mise à l'écart forcée) ou du côté des chercheurs qui se mettent ou restent du côté des lobby industriels?

La croyance que le HIV est la cause du sida est à ce point devenue un dogme scientifique que la plupart des médecins considèrent toute suggestion contraire comme étant un comportement dangereux et irresponsable.

La plupart des scientifiques bio-médicaux qui osent mettent en doute ce dogme sont mis à l'écart des principaux congrès scientifiques et leur bourse liée à la recherche est annulée.

Le docteur Kary MULLIS

Inventeur de la technique PCR (Polymerase Chain Reaction), aujourd'hui mondialement utilisée dans la recherche génétique dit :

"Je ne parviens pas à trouver un seul virologue qui puisse me donner des références qui démontrent que le HIV est la cause probable du sida.

Les chercheurs dissidents ont tentés plusieurs fois de publier leurs travaux mais, à ce jour, aucunes revues médicales ou scientifiques n'a accepté.

 

 

L'arnaque scientifique du siècle

De nombreux points démontrent que l'hypothèse virale des 25 maladies (ces maladies existaient auparavant dans les milieux déjà cités) dites de type opportuniste (en relation avec une déficience du système immunitaire) n'a aucun lien avec le soi-disant virus HIV du sida.

Les connaissances scientifiques contredisent les faits alarmistes concernant une épidémie mondiale.

- Si c'est le virus qui infecte le système immunitaire et est responsable de toutes les maladies qu'on lui attribue alors il devrait contaminé des milliards de lymphocytes avant de provoquer les dégâts qu'on lui attribue. Or les études ont montré que le virus n'est présent que dans 1/10.000 lymphocytes T, beaucoup moins que ce qu'il faudrait pour tuer ces cellules plus vite que le corps ne les remplace. Pour tenter d'expliquer cela plusieurs hypothèses sont proposées mais ce ne sont pas des faits scientifiques.

- Chez les mourants du sida, on trouve rarement la présence du virus, mais uniquement l'anticorps.

- Le comportement du sida ne correspond pas au modèle d'une maladie infectieuse parce qu'il ne se manifeste que plusieurs années après la contamination.

- La soi-disant épidémie, qui selon les données de 1987 devait envahir le monde, ne s'est pas diffusée d'une manière exponentielle.

- L'augmentation du nombre de séropositif dans certains pays ou milieux ne serait dû qu'au dépistage plus intense. Depuis quelques temps, ce nombre devient stationnaire. Bien évidemment on pourrait évoquer l'usage plus intensif des moyens de protection sexuelle mais cela ne concerne que les pays ou la population les utilise et ce n'est pas le cas en Afrique, par exemple.

- Les victimes africaines du sida souffrent d'un type de maladies complètement différentes de celles de l'occident : ce sont principalement la fièvre, la diarrhée, la tuberculose, généralement associée à la malnutrition, aux infections parasitaires et aux mauvaises conditions sanitaires.

- Chaque être humain comporte entre 50 et 100 rétrovirus latents transmis de génération en génération. Un virus tue la cellule qu'il infecte. Le rétrovirus copie l'information génétique de sa cellule hôte et l'insère dans l'ADN (la mémoire génétique) de celle-ci. La survie de ces cellules est obligatoire pour que survive le rétrovirus. Les rétrovirus ne sont pas responsables des maladies graves et encore moins d'affections fatales.

 

 

Comportements à risques

La plupart des personnes qui sont considérées sidaïques, c'est-à-dire dont le virus serait actif, ont généralement un terrain affaibli par :

     - L'utilisation de drogues récréatives.
     - L'utilisation chronique d'antibiotiques
     - Les transfusions répétées, les anesthésiants. Pour les hémophiles, les transfusions répétées sont des stress permanents pour le système immunitaire.
     - La malnutrition (causée chez les homosexuels par un mauvais fonctionnement intestinal) causée par les drogues, la pauvreté, l'anorexie mentale.
     - Les infections multiples par manque d'hygiène.
     - Les stress permanents.

 

Attention aux tests Faux positifs

Si une ou plusieurs des conditions ou comportements de cette liste sont présentes avant le test vous pouvez avoir un faux test positif.

Acidose lactique
Anémie
Anémie à cellule falciforme
Angiomatose bacillaire
Anticorps contre les antigènes des lymphocytes T
Anticorps antimembrane cellulaire
Anticorps anti-microsomes
Anticorps anti-nucléaires
Anticorps anti-lymphocyrtaires
Anticorps contre certains sucres
Anticorps naturels
Arthrite rhumatoïde
Anticorps contre le tissu musculaire lisse
Anticorps IgM contre l'hépatite A
Anticorps contre les cellules pariétales
Anticorps anti-collagène
Anticorps ant HLA
Anticorps anti-mitochondriaux
Autres rétrovirus
Cancers
Candidose pulmonaire, oesophagienne, oro-pharyngée, vaginale
Choc émotionnel récent
Cholangiopathie sclérosante
Cholangite sclérosante secondaire
Cirrhose alcoolique
Cirrhose biliaire primitive
Coccidioïdomycose extra-pulmonaire
Crytococcose et hystoplasmose cutanées
Cryptococcose pulmonaire
Déficience rénale
Dermite séborrhéique
Encéphalopathie
Epstein-Barr, le virus d', Mononucléose infectieuse
Eczéma
Fièvres
Fièvre-Q avec hépatite asociée
Folliculite à pityrosporum ovale
Gingivite
Hémodialyse
Hémophilie
Hépatite
Herpès
Histoplasmose hépatique
Homosexualité réceptive
Hyperbilirubinémie
Hypergammaglobulinémie
Hyperlipidémie
Hyperviscosité sanguine
IgM contre les globules blancs
Immunisation passive par gammaglobulines ou immunoglobulines
Infections des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe)
Infections virales diverses en cours
Infections ou vaccinations récentes
Insuffisance rénale
Insuffisance rénale avec hémodialyse
Leishmaniose viscérale
Lèpre
Leuco-encéphalite multifocale progressive
Leucoplasie chevelue de la langue
Lupus érythomateux systémique
Lymphadénopathie généralisée persistante
Lymphome
Lymphomes malins non hodgkiniens
Maladies autoimmunes
Maladie de Hodgkin
Maladie de Kaposi
Malaria
Malnutrition, carences multiples
Méningite à cryptocoques
Méningite lymphocytaire
Multiparité
Myélome multiple
Mycobactéries aviaires
Mycoses diverses
Myopathies
Neuropathie démyélisante, périphériques
Neutropénie
Pancréatite
Péliose hépatique
Polynévrite sensitive
Pneumocystose pulmonaire
Pneumonies bactériennes récidivantes
Pneumopathie interstitielle à cytomégalovirus
Prise de stupéfiants
Prurigo
Psoriasis
Purpura
Rétinite à CMV
Ribonucléoprotéines humaines normales
Salpingite
Sclérose en plaques
Septicémies récidivantes à salmonelles
Stress
Strongyloïdose
Syndrome de Guillain-Barré
Syndrome de Stevens-Johnson
Syphilis
Traitement à l'interféron de patients hémodialysés
Thrombopénie
Toxoplasmose pulmonaire, cérébrale
Transfusion sanguine
Transplantation d'organes
Tuberculose
Vaccination anti-grippale
Vaccination anti-hépatite B
Vaccination anti-tétanique
Végétations ano-génitales à papillomavirus
Verrues vulgaires ou à molluscum contagiosum
Xérose
Zona

 

 

Les grandes épidémies

Le plus grand triomphe de la médecine fut l'éradication des grandes maladies infectieuses dans les pays modernes actuellement dits civilisés.

Il serait toutefois honnête de se demander si ce ne sont pas les changements de condition de vie (meilleure alimentation variée, meilleure hygiène et salubrité publique) qui auraient favorisé la disparition de ces épidémies.

Dans les pays où les campagnes de vaccination sont actuellement utilisées, les résultats obtenus ne se manifestent pas de la même façon spectaculaire.

Ne serait-ce pas parce que les conditions sanitaires et alimentaires ne sont pas suffisantes?

Lorsque une équipe médicale décide de vacciner une région du tiers monde, elle y apporte également une aide alimentaire de base et une éducation à une meilleure hygiène de vie ainsi qu'une diminution du stress.

Vaccinations

En Suisse, les cantons possèdent une politique médicale indépendante et la régression des épidémies s'est produite dans les cantons non vaccinés selon une courbe identique à celle des cantons vaccinés.

A Genève, en 1932, la vaccination contre la diphtérie a été rendue obligatoire et a été suivie d'une diminution considérable de morbidité. C'était la preuve de l'efficacité de la vaccination anti-diphtérique. Or, vingt quatre cantons non vaccinés offraient la même courbe.

vaccinations-cantons-suisse

En Australie, la diphtérie avait autant baissé en 1923 dans les localités non vaccinées que dans celles où la campagne vaccinale avait été poursuivie.

En Hongrie, le premier pays d'Europe où l'expérience de vaccination massive des enfants contre la diphtérie a été pratiquée, on mentionne, en 1928, que la forte baisse de morbidité avait été identique dans les campagnes vaccinées que dans la ville de Budapest qui ne fut pas vaccinée.

C'est donc bien à d'autres facteurs qu'il faut attribuer cette régression.

Pourquoi nous cache-t-on tous ces faits? Pourquoi présente-t-on systématiquement comme vraies les lois erronées de la médecine officielle? Qui donc a intérêt à nous faire avaler ces "germicides", "bactéricides", "virucides" et à nous inoculer ces substances dont rien ne prouve l'utilité ni l'innocuité?

Le sida est un scandale médical totalement emblématique de notre époque, tant par le tapage médiatique dont ce syndrome est l'objet que par les conséquences dramatiques de la mauvaise interprétation des phénomènes de défi cience immunitaire. Parmi les milliers de chercheurs qui travaillent sans relâche sur ce virus, aucun n'est jamais parvenu à l'isoler ! Et pendant ce temps, les autorités continuent de matraquer l'opinion publique avec des statistiques alarmistes.