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Les marqueurs tumoraux

Les nouvelles interprétations

Ici encore le docteur Ryke Geert Hamer a été un précurseur.

Dès le début des années 1990 il affirmait que l'interprétation alarmante de l'élévation des marqueurs tumoraux était complètement dénuée de sens et qu'il fallait plutôt envisager une signification opposée à celle qu'elle était sensée avoir.

Le docteur Hamer mentionna cette erreur d'interprétation scientifique dans un bref exposé de la Médecine Nouvelle remis à l'université de Tübingen (Allemagne) en 1994 dans le cadre de sa procédure de réhabilitation (toujours refusée).

Il écrivit entre autre : "Il existe de soi-disant marqueurs tumoraux non spécifiques, d'autres plus ou moins spécifiques et enfin d'autres spécifiques. En principe, on pourrait pour chaque événement de la croissance du cancer ou d'une phase de guérison d'un cancer quelconque trouver de tels marqueurs non spécifiques et aussi d'autres spécifiques. Le plus spécifique de tous est la vitesse de sédimentation des hématies.

Mais à ce jour, la médecine officielle ne savait pas faire la différence entre la phase active et la phase de guérison d'une maladie. Naturellement, elle savait encore moins qu'il existe un sens biologique lequel se situe dans l'une de ces deux phases.

 

 

C'est ainsi que l'on a développé des marqueurs, dont les uns augmentaient une fois la phase active engagée, et les autres qui atteignaient des valeurs élevées durant la phase de guérison. Les premiers concernaient des organes régis par le cerveau ancien, les autres des organes régis par le nouveau cerveau.

De par cela, au départ de faits exact, on établit des diagnostics erronés ou à tout le moins susceptibles d'induire en erreur, alors que l'on peut regrouper l'ensemble des marqueurs dont la concentration sérique augmente au cours de la phase de guérison, sous le vocable de "marqueur de vitalité".

Actuellement, c'est surtout pour des raisons de facilité de manipulation que l'on a utilisé de tels marqueurs pour la surveillance des patients (= le suivi des patients) cancéreux. On peut repérer ses marqueurs dans le sang. Leur détection est liée à une condition essentielle : les composants qui servent de marqueurs doivent être élaborés en quantité suffisante dans les cellules cancéreuses, et au départ de celles-ci, être déversés dans le sang, pour y être détectables. Cette condition est remplie pour tous les marqueurs tumoraux utilisés actuellement pour le diagnostic de laboratoire. 

La science officielle rejoint le docteur Ryke Geert Hamer

- Journal du médecin 22 décembre 1999 – Commentaire de la Fédération Belge contre le Cancer

Le Dr Anne Fortier et ses collègues de Rockville - USA ont étudié l’effet du PSA sur les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins. Ces cellules sont très importantes si l’on sait que, pour assurer sa croissance, une tumeur cancéreuse stimule la prolifération de nouveaux vaisseaux sanguins chargés de l’alimenter en oxygène et en éléments nutritifs.

Ce phénomène s’appelle angiogénèse (création de nouveaux vaisseaux sanguins) en langage scientifique. Bloquer ou ralentir l’angiogénèse reviendrait à " couper les vivres " au cancer.

Or l’étude en question, réalisée sur des cultures de cellules, a montré que le PSA inhibe la prolifération des cellules vasculaires. L’effet est d’autant plus marqué que les doses de PSA sont importantes.

De plus, une recherche complémentaire réalisée sur des souris à qui un cancer est inoculé, montre que le PSA réduit significativement le nombre de métastases.

Les chercheurs en ont conclu que le PSA présente des propriétés antiangiogéniques et antimétastatiques.

Au lieu d’être simplement un marqueur de mauvais pronostic, un PSA élevé chez un patient pourrait aussi être le signe d’une réaction de défense face au cancer.

De là à imaginer l’utilisation de cette substance pour combattre les tumeurs malignes, il y a un pas que les équipes de recherche ne veulent pas franchir, jugeant leurs résultats encore insuffisants.

Remarque : Le médecin américain, Richard Albin,  qui avait mis au point le dosage du PSA en 1970, s’inquiète lui-même du « désastre de santé publique » provoqué par sa découverte.

Dans une tribune publiée en 2010 dans le New York Times, il écrit : « Jamais je n’aurai pu imaginer, quatre décennies plus tôt, que ma découverte allait provoquer un tel désastre de santé publique, engendré par la recherche du profit. Il faut arrêter l’utilisation inappropriée de ce dosage. Cela permettrait d’économiser des milliards de dollars et de sauver des millions d’hommes de traitements inutiles et mutilants. »

En 2014, le prof Richard Albin publie « The Great Prostate Hoax: How Big Medicine Hijacked the PSA Test and Causé a Public Health Disaster »  (Le grand canular de la prostate).